Quest-ce que la fouta ? Fouta est un mot arabe, c’est à l’origine une serviette tunisienne, utilisée dans les hammam par les femmes comme par les hommes en Tunisie. C’est un grand morceau de tissu fin et doux faite à 100 % de coton avec des franges au bout. Ilpeut être un type de couverture pour les utilisateurs, en tant que barrière de froid ou de chaleur. Dans le même contexte, la fouta s’utilise dans les hammams où la température grimpe à haut degré. Elle peut alors être utile dans les milieux Quest-ce qu’une fouta ? D’abord employée pour se sécher après un passage au hammam, cette serviette raffinée a trouvé d’autres usages féminins comme masculins. Composée généralement à 100% de coton, la fouta se caractérise Pasquestion qu’un grain de sable ne vienne perturber vos vacances. Pour profiter pleinement de l’été, voici une sélection de serviettes/foutas écologiques, à glisser dans vos cabas. Les éco-serviettes, pour sécher plus vite que son ombre. Blanc Cerise, la serviette unie . Derrière la marque Blanc Cerise, une équipe passionnée s’engage, à travers une démarche consciente et FataMorgana de la presqu’île de Quiberon (Morbihan, France) depuis la plage de Gavres (distance 20 km ). Une fata Morgana est un phénomène optique qui résulte d'une combinaison de mirages (perturbations des rayons lumineux au passage à travers un gradient thermique dans l' atmosphère ). Les fata Morgana sont assez rares mais ont lieu Quest-ce qu’une fouta ? Une fouta est une étoffe en coton fine et légère et ornée de franges tressées. A l’origine elle était utilisée en Afrique du Nord pour se rendre au hammam et bains publics. Elle se portait à la taille 5N5Md9V. Comme nous l’avions déjà précisé, nous sommes partis à la recherche de LA fouta de qualité ! La fouta est un produit originaire d’Inde mais qui a surtout connu son plus gros développement en Tunisie, c’est pour cela que tout naturellement c’est vers la Tunisie que nous nous sommes tournés pour vous dénicher de jolies pépites ! La fouta était principalement utilisée comme serviette traditionnelle dans les saunas et les hammams. Depuis, la fouta est devenu l’accessoire indispensable de l’été sur les plages, autour de la piscine et même dans nos salles de bain tout au long de l’année. Ce qui plait le plus chez la fouta c’est sa légèreté, le fait qu’elle soit très grande mais surtout qu’elle sèche très vite ce qui est donc bien pratique au moment de la ranger après la baignade ! Tendance pourrait être l’adjectif qui résume le mieux la fouta. Vous pourrez retrouvez une large gamme sur notre site avec des couleurs acidulées, flashis, très estivales mais aussi plus sobres, d’autres avec des rayures qui conviennent parfaitement tout au long de l’année. Les franges de la fouta sont l’une des caractéristiques qui en font un produit très artisanal et très atypique. D’ailleurs, Tous les modèles de foutas proposés sur notre shop sont en coton 100% recyclé, elles sont tissées à la main dans des ateliers Tunisiens en qui nous avons 100% confiance et sont ensuite transportées au domicile d’artisanes qui nouent elles-mêmes les franges de la fouta. Une fois de plus c’est dans la fouta personnalisée que nous souhaitons nous spécialiser ! Nous, ce qui nous fait le plus plaisir et ce qui nous anime le plus c’est de rendre de beaux produits encore plus uniques grâce à la broderie. Comment lave t-on une fouta ? 30° avant la première utilisation Vous pouvez la mélanger avec votre linge de maison car les foutas ne déteignent pas Comme pour beaucoup d’articles artisanaux, il est préférable de continuer le linge à 30° et laisser sécher à l’air libre 21 février, 2022 — Nos promotions pour hâler tout l'été ! -50% -50% -50% -50% -50% -50% -60% -50% Disponible en magasin COUSSIN CITRONS 20,00 € 39,99 € dont 0,05 € d'éco-mobilier -50% -50% -50% -50% -50% -50% Disponible en magasin FAUTEUIL GOA VERT 69,95 € 139,90 € dont 0,00 € d'éco-mobilier dont 0,00 € d'éco-participation -50% -50% -50% -50% -50% Avec La Chaise Longue, des idées cadeaux aussi fraîches qu’un grand splash dans la piscine ? C’est par ici et c’est en promo ! Profitez jusqu’à -80% de réduction sur nos produits incontournables de l’été. Pour trouver des cadeaux originaux pour un mois d’aout sous haute température, laissez-vous guider par nos coups de cœur à prix canon. Vous êtes plutôt bouée serpent pour charmer sur les flots ou matelas gonflable arc-en-ciel pour diffuser de la joie ? À moins que vous n’ayez envie de craquer pour un coffret fouta ou une nouvelle chilienne ? Avec nos promos l’été sera aussi beau que chaud, c’est le festival des cadeaux ! En manque d'inspiration ? Trouvez le cadeau idéal avec notre machine à idées cadeaux !! Ce beau tissu est à l'origine, l'ancêtre de la serviette éponge. A l'époque des bains publics et des hammams, la mécanique n'existait tissage se faisait avec des métiers a tissage en bois. Cette tradition est restée et a été la fouta a gardé son coté artisanal puisque les franges sont encore tressées à la main. la fouta serviette de plageAuthentique et écologique par son coté économe puisque la tradition veut qu'à l'origine et encore aujourd'hui, nous utilisons les fins de cônes des grandes productions de textile pour tisser les foutas, d'où les milliers de coloris et la variété des modèles grand drap de bain en coton a donc détrôné la serviette en éponge par ses multiples tendance sur les plages et très appréciée pour ses qualités incontournables, légère, résistante, elle est multiusage. Elle se porte en paréo à la plage ou en étole un soir de lègéreSes différentes mesures et sa facilité d'entretien lui permettent d'être utilisée comme nappe, plaid, ou en couvre-lit...Grâce à son tissage serré, la fouta nous a permis de décliner une gamme d'accessoires tels que, sacs de plage, pochettes de maquillage, tablier de cuisine et ponchos de structure nous a aussi permis de proposer des foutas personnalisées par la broderie ou la sérigraphie pour les entreprises. Idéale pour les événements, les objets publicitaires elle est aussi très appréciée en usage professionnels dans les établissements hôteliers spécialisés, les hammams, spa ou centres de Mare Toalla Playa Beach Towels Strandtuch Reconfiguration du jeu politique? Le Président Macky Sall, maître du jeu politique depuis une dizaine d’années, est-il en train de perdre petit à petit la main ? Le Président Macky Sall, maître du jeu politique depuis une dizaine d’années, est-il en train de perdre petit à petit la main ? Après la bérézina des Locales et la relative déroute aux Législatives qui lui ont coûté sa majorité mécanique à l’Assemblée nationale, une première dans l’histoire politique du Sénégal, la question taraude bien des esprits qui s’interrogent aujourd’hui sur la marge de manœuvre du Président en perspective de la présidentielle de 2024. Il faut dire que la perte de vitesse politique du patron de la mouvance présidentielle est cependant loin d’être un hasard, eu égard à la succession mécanique des impairs de gouvernance politique dont il semble être lui-même le principal artisan. Beaucoup de partisans du président Macky Sall prétendent que la percée de l’opposition notée à l’issue des dernières élections locales, mais aussi plus récemment avec les législatives du 31 juillet 2022, réside dans le fait que moult responsables politiques de Benno Bokk Yakaar sont rejetés par leurs propres bases politiques. Seulement, les tenants de cette thèse aux relents minimalistes semblent vouloir mettre sous le boisseau le désamour latent et continu d’une large frange de la population sénégalaise contre le Chef de l’État. Et cela, pour diverses raisons. A contrario, cette perception du vote-sanction contre les responsables locaux de Benno contribue à empêcher le président Macky Sall de situer les vraies raisons à l’origine de ses déboires politiques actuels. Outre les conditions de vie difficiles dictées par l’inflation et la hausse généralisée des denrées de première nécessité, la rupture de confiance et le sentiment d’injustice semblent avoir sapé la sympathie que vouait le peuple sénégalais à celui qui aurait fait de Fatick et du Fouta ses titres fonciers. Et cela ne date pas du quinquennat 2019-2024. Déjà, pas mal de Sénégalais ont commencé à se repositionner vis-à-vis du président Macky Sall à partir du moment où celui-ci a forcé un premier mandat de sept 7 au lieu de cinq 5 ans, nonobstant qu’il avait promis pendant la campagne présidentielle de 2012 de faire un quinquennat en lieu et place d’un septennat que disposait la Constitution. Même si ce sont les Sages» du Conseil constitutionnel qui ont réfuté la réduction du mandat à cinq ans suite à l’élection de l’ancien Premier ministre d’Abdoulaye Wade à la Présidence, une partie des citoyens ne s’est pas gênée pour penser qu’il s’agissait d’un coup monté de toutes pièces pour permettre à Macky Sall de faire un premier mandat de sept ans au lieu de cinq. Du coup, un premier coup érodait la confiance des suffragants auprès du maître du jeu politique. LA JUSTICE SOUS LE BOISSEAU Auparavant, l’ancien maire de Fatick avait réactivé la Cour de Répression de l’Enrichissement illicite CREI en mai 2012 pour répondre à la demande sociale de reddition des comptes, en somme de poursuivre les dignitaires soupçonnés d’avoir détourné l’argent du contribuable sous le magistère de l’ancien président Abdoulaye Wade. Une affaire communément appelée traque des biens mal acquis ». Mais coup de théâtre ! Parmi les 25 personnes mises en cause, seul Karim Meïssa Wade, le fils d’Abdoulaye Wade, a été poursuivi et condamné, le 23 mars 2015, à six ans de prison ferme et 138 milliards de francs CFA d’amende pour enrichissement illicite. Ce qui a eu pour conséquence de le rendre inéligible. Karim Wade retrouvera» plus tard la liberté à la suite d’une grâce présidentielle accordée, le vendredi 24 juin 2016, par le chef de l’Etat Macky Sall. Là encore, le procédé aux apparences tendancieuses laissait penser qu’il y avait anguille sous roche. En effet, Karim Wade s’est immédiatement envolé vers Doha, capitale du Qatar, à bord d’un jet privé et à côté du procureur général du Qatar [sic]. Depuis lors, le responsable du PDS n’a plus jamais posé les pieds au Sénégal. Certains Sénégalais n’ont pas manqué d’y voir une sorte de stratagème perpétrée par la plus haute autorité de l’État pour écarter un adversaire politique. L’affaire Khalifa Sall, du nom de l’ancien député socialiste et maire de Dakar, viendra écorner davantage la crédibilité politique du président Macky Sall. Un des leaders les plus actifs sinon charismatiques de l’opposition, Khalifa Sall a également été condamné en mars 2018, à 5 ans de prison ferme, assortie d’une amende pénale de 5 millions francs CFA, sans dommages et intérêts dans l’affaire dite de la caisse d’avance de la mairie de Dakar. Le 29 septembre 2019, Macky Sall graciait le maire de Dakar qui est aussi frappé d’inéligibilité, tout comme Karim Wade. Depuis lors, Khalifa Sall est écarté des compétitions électorales après avoir été révoqué de son poste de maire par Macky Sall lui-même. CONTRAINTES LIBERTICIDES Comme si cela ne suffisait pas, les mesures liberticides interdictions de manifester, garde à vue à outrance de certains activistes opposés au camp de Macky Sall, comme les dommages collatéraux du Covid-19 couvre-feu, restrictions de la liberté de circulation, port de masque obligatoire dans certains lieux publics ont grandement contribué à grossir l’ire de beaucoup de goorgoorlu», déjà englués dans la précarité. Des frustrations qui ont trouvé leur exutoire, lors des manifestations émeutières du mois de mars 2021, sources d’une quinzaine de morts dans le pays. Il faut dire que, là aussi, l’affaire Ousmane Sonko-Adji Sarr, impliquant le leader de Pastef-Les Patriotes, et son traitement judiciaire ont fini de conforter l’opinion d’une large frange de la population qu’après Khalifa Sall et Karim Wade, Macky Sall instrumentalisait la justice, pour liquider un challenger politique. OPA SUR LES DENIERS PUBLICS Parallèlement, les accusations de fraude et de détournement de deniers publics dans lesquelles sont cités les proches du Président à l’instar d’Alioune Sall, frère de Macky Sall, mais aussi Mansour Faye, beau-frère du chef de l’État, contribuaient à desservir le quatrième président du Sénégal. Les dossiers des organes de contrôle mis sous le coude s’y ajoutant, à côté des centaines de milliards dépensés dans des projets aux résultats mitigés Plan décennal de lutte contre les inondations, TER… ont eu pour consécutive de fragiliser le fond électoral du chef de l’Etat, suite à une désaffection des populations. Que dire, par ailleurs, des scandales de trafics de faux billets et de passeports diplomatiques, dans lesquels les députés apéristes étaient impliqués lors de la 13ème législature, tout en jetant le discrédit sur leur propre parti ? Il faut relever enfin que le suspense entretenu par le président Macky Sall, qui n’a toujours pas édifié les citoyens s’il allait ou non rempiler pour un troisième mandat, semble lui avoir coûté cher, en termes de crédit électoral. Beaucoup de Sénégalais hostiles à l’idée de troisième mandat se sont mis à douter des intentions politiciennes de Macky Sall. Raison suffisante pour certains de lui tourner simplement le dos. Le rouleau compresseur Tout sauf Macky et Cie», en vogue chez les populations, pourrait ainsi expliquer en grande partie les défaites enregistrées par le pouvoir, lors des derniers scrutins. Comme dans une sorte de grand avertissement adressé avant tout au maître du jeu, invité à écouter attentivement les messages de son peuple, à se réinventer et réajuster sa politique suivant les vraies aspirations de tous ses compatriotes qui ont sanctionné son camp et sa gouvernance politique et économique. Pape Moussa CAMARA Burkina la communauté peule stigmatisée, spectre de la guerre civile Des appels à la haine et au meurtre des Peuls du Burkina Faso, dont certains appartiennent aux groupes jihadistes qui ensanglantent le pays, font craindre une flambée de violence pouvant aller jusqu'à la "guerre civile", selon des analystes et responsables est telle que le gouvernement burkinabè issu d'un coup d'Etat militaire en janvier, est monté au créneau pour condamner avec fermeté ces appels au meurtre lancés sur les réseaux sociaux, principalement enregistrements audio y ont été postés il y a dix jours, invitant les populations "autochtones" à tuer massivement les Peuls, minoritaires au Burkina Faso - 1,5 million sur 20,5 millions d'habitants - comme dans la plupart des pays d'Afrique de l'Ouest et du Centre, où ils sont aussi stigmatisés."Ce sont des propos d'une extrême gravité qui n'ont d'équivalence que les dérives de la radio Mille collines qui ont conduit au génocide rwandais en 1994, une des pires tragédies de l'humanité et de laquelle nous devons savoir tirer des leçons", selon une déclaration adoptée la semaine dernière en Conseil des ministres."L'irréparable" Notant qu'il "est question d'appels directs et actifs au meurtre, à des tueries de masse, à l'épuration ethnique et à la sédition", la déclaration estime qu'il faut "agir résolument et fermement avant que l'irréparable ne se produise".Ces appels au meurtre ne sont pas les premiers ils sont apparus avant et après le massacre, le 1er janvier 2019, de Peuls - jusqu'à 150 morts selon la société civile, 50 selon un bilan officiel - commis en représailles à l'attaque du village de Yirgou nord par des jihadistes armés tueries ont suivi dans le nord du Burkina, en particulier à Arbinda, en mars 2019, puis un an plus tard dans les villages de Dinguila et Barga, faisant là encore des dizaines de morts, en majorité des Arbinda, "en réponse au renforcement de la présence d'islamistes armés, les forces de sécurité burkinabé auraient exécuté au moins 116 hommes non armés accusés d'avoir soutenu ou hébergé des islamistes armés", affirmait l'ONG Human Rights Watch HRW après enquête sur place. "A quelques exceptions près, les victimes appartenaient à l'ethnie peule".Fin juillet, un homme a été interpellé pour avoir publié un enregistrement audio contenant "des propos diffamatoires, outrageants et incitatifs à la haine et à la violence ethnique", adressé à deux leaders religieux et coutumiers peuls."Votre communauté est à l'origine de l'insécurité qui sévit dans notre pays", pouvait-on y entendre. "Parmi la soixantaine d'ethnies, c'est la vôtre qui est à la base des tueries" commises par les jihadistes depuis 2015 au Burkina, y faisant des milliers de morts et quelque deux millions de déplacés, accusait-il. "Amalgame vite fait" Drissa Traoré, enseignant et analyste politique burkinabè, estime en le regrettant que "ce sentiment s'est vite généralisé suite au constat que 90% des combattants des groupes terroristes sont d'origine peule".Il cite un trombinoscope des jihadistes les plus recherchés publié par l'armée en 2018 et actualisé en mai dernier, qui indique que sur 136, au moins 120 sont d'origine peule."L'amagalme est donc vite fait et on assimile les Peuls aux terroristes alors que 90% des Peuls n'ont rien à voir avec le terrorisme", note M. juge que "tout cela est symptomatique des profondes fractures sociales qui ont été exacerbées par le terrorisme. Elles constituent à présent une grave menace pour la survie même de la nation qui frôle chaque jour le chaos".Autre analyste politique burkinabè, Lassina Ouédraogo, estime aussi que l'amalgame "Peul égal terroriste" ne tient bien sûr pas."Il faut voir le nombre de victimes peules dans les violences jihadistes pour se convaincre que cette communauté paie le plus lourd tribu les Peuls comptent le plus grand nombre de morts tués lors des attaques, et enregistrent le plus grand nombre de déplacés internes", dit-il, ajoutant "Dans la quasi totalité des localités où ils sont installés, ils sont rejetés ou même chassés, accusés d'être des complices".Pour Yoporeka Somet, directeur du Centre d'études de la renaissance africaine Cera, "nous ne devons pas céder au piège que le terrorisme nous tend, à savoir la stigmatisation meurtrière de citoyens sur la base de leur appartenance réelle ou supposée à une communauté dont certains membres sont impliqués dans des attaques terroristes".Alpha Barry, ancien ministre des Affaires étrangères du président Roch Marc Christian Kaboré, renversé par le putsch militaire de janvier, a alerté dans une récente tribune sur "le risque d’une vraie guerre civile", après la diffusion des enregistrements l'éviter, il a appelé les politiques, religieux, intellectuels, chefs coutumiers et autres leaders à "aller sur le terrain, rencontrer les populations, mener des actions fortes pour prôner la cohésion et le vivre-ensemble qui sont le ciment de notre nation".

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