Pasde bĂ©bĂ©s Ă  la consigne. 15,209 likes · 44 talking about this. Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne est un collectif, créé en 2009, qui dĂ©fend un accueil de qualitĂ© pour les jeunes enfants en Pasde bĂ©bĂ© Ă  la consigne ! Pas de bĂ©bĂ© Ă  la consigne ! Les professionnels de la petite enfance dĂ©noncent la braderie des modes d’accueil. Le 8 avril est venu "confirmer la vigueur d’un mouvement d’une ampleur inĂ©dite dans le secteur de la petite enfance"(AFP) En effet professionnels et parents ne lĂąchent rien face aux contre-vĂ©ritĂ©s Ă©noncĂ©es par M me Pasde bĂ©bĂ©s Ă  la consigne est un collectif créé en 2009 pour dĂ©fendre un accueil de qualitĂ© pour les jeunes enfants en accueil individuel et collectif. lanouvelle WebTv des CemĂ©a. L'actualitĂ© des CemĂ©a en images et en vidĂ©os. Voir Ă©galement les reportages des contributions avant CongrĂšs 2015 Grenoble . Voir le clip vidĂ©o. La palmarĂšs de l' Ă©dition du festival 2017 Pasde bĂ©bĂ©s Ă  la consigne ! Pour amĂ©liorer et dĂ©velopper les modes d’accueil et la scolarisation des jeunes enfants Les mesures et projets gouvernementaux concernant les modes d’accueil des jeunes enfants (dont le projet de modification du dĂ©cret du 20 fĂ©vrier 2007, relatif aux Ă©tablissements et services d’accueil de la petite enfance) ainsi Lecollectif Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne est informĂ© que des professionnel·les de la petite enfance envisagent de rejoindre des journĂ©es d’action comme celles GRoH. Comme un peu partout en France, les professionnelles de la petite enfance Ă©taient dans la rue, ce mardi 30 mars, pour s'opposer Ă  la rĂ©forme de l'accueil du jeune enfant portĂ©e par Adrien Taquet, secrĂ©taire d'État en charge de l'Enfance et des Familles auprĂšs du ministre des SolidaritĂ©s et de la SantĂ©. "Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne !" Avec ce slogan reprenant le nom de leur collectif, les professionnels de la petite enfance ont manifestĂ©, ce 30 mars, en dĂ©but aprĂšs-midi, dans les rues de Carcassonne. L'objet de leur mĂ©contentement l'article 99 de la loi d'AccĂ©lĂ©ration et de simplification de l'action publique Asap portant sur la rĂ©forme de l'accueil des jeunes enfants. Une loi portĂ©e par Adrien Taquet, secrĂ©taire d'État en charge de l'Enfance et des Familles auprĂšs du ministre des SolidaritĂ©s et de la SantĂ©, publiĂ©e le 8 dĂ©cembre dernier et dont le dĂ©cret d'application est prĂ©vu pour septembre. "Une rĂ©forme qui compile tout un tas de petites choses qui nivellent l'accueil des plus petits par le bas", certifie Delphine Le Douarec, reprĂ©sentante de la FĂ©dĂ©ration nationale des Ă©ducateurs de jeunes enfants Fneje. De 7 Ă  5 m2 par enfant Parmi elles, la rĂ©duction du nombre de mĂštres carrĂ©s dĂ©volu Ă  chaque bĂ©bĂ© les normes actuelles sont fixĂ©es Ă  7 m2 et devraient passer Ă  5 m2. "Cette disposition est clairement faite pour Paris oĂč le manque de locaux est flagrant. Mais, ici ! De fait, quand un gestionnaire va vouloir construire une crĂšche, il va s'orienter vers des bĂątiments plus petits... qui lui reviendront moins cher. Et le bien-ĂȘtre des enfants, on en fait quoi?", peste Marie-JosĂ©e AlbĂ©rola, responsable de crĂšche Ă  Narbonne. De mĂȘme, la baisse de qualification on pourra diriger une crĂšche sans expĂ©rience ; un apprenti sera comptĂ© dans les taux horaires ou l'augmentation du nombre de bĂ©bĂ©s par encadrant de cinq pour un on passerait Ă  six pour un inquiĂštent les manifestantes "Et pour les sorties ? Aujourd'hui, c'est un adulte pour deux enfants logique, on n'a que deux mains. Mais Ă  l'avenir, ce sera jusqu'Ă  un pour cinq ! Comment va-t-on faire sachant qu'un enfant qui marche, il faut lui tenir la main, sinon, il s'Ă©chappe ? Pareil pour l'ouverture et la fermeture des structures nous sommes systĂ©matiquement deux, ce sera un Ă  partir de septembre", souligne encore Delphine Le Douarec. Notre mĂ©tier a beaucoup Ă©voluĂ© ces derniĂšres annĂ©es En guise de compensation, l'article 99 de la loi Asap prĂ©voit d'accorder une demi-heure d'analyse de pratiques par personne et par mois "Mais nous l'avons dĂ©jĂ  mis en pratique dans beaucoup de structures et sur un volant d'heures plus large. Parce qu'on fait de plus en plus de soutien Ă  la parentalitĂ© ou d'accompagnement d'enfants en difficultĂ©s. À Narbonne, par exemple, l'analyse des pratiques c'est trois heures par mois. Notre mĂ©tier a beaucoup Ă©voluĂ© ces derniĂšres annĂ©es", prĂ©cise Marie JosĂ©e AlbĂ©rola. Pour les professionnelles de la petite enfance, toutes les mesures engagĂ©es visent Ă  "crĂ©er des places de crĂšches sans donner de moyens, au contraire". VoilĂ  pourquoi environ 80 d'entre elles ont battu le pavĂ© ce mardi aprĂšs-midi "Ce qui peut paraĂźtre peu mais on ne veut pas, non plus, pĂ©naliser les enfants et les parents des sections ont fermĂ© mais les autres sont restĂ©es ouvertes avec des personnels montrant clairement sur un brassard leur opposition Ă  cette loi", conclut Delphine Le Douarec. Plan d’urgence en faveur de l’accueil de la petite enfance vendredi 20 mai 2011 par popularitĂ© 4% >>> TĂ©lĂ©charger la brochure du collectif "pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne". >>> TĂ©lĂ©charger la pĂ©tition du collectif "pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne". >>> Signer la pĂ©tition en ligne. Un Plan d’urgence pour l’accueil de la petite enfance ! Articuler vie familiale et vie professionnelle pour les parents, tout en accueillant les bĂ©bĂ©s de façon personnalisante en crĂšche ou chez une assistante maternelle, constitue un enjeu majeur de sociĂ©tĂ©. Pourtant, en 2011, alors que plus de deux mĂšres sur trois travaillent, moins de la moitiĂ© des enfants entre 0 et 3 ans ont une place dans un mode d’accueil. Pour rĂ©pondre aux besoins, il manque 500 000 places pour l’accueil des tout petits. Avec pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne », nous exigeons un Plan d’urgence pour un accueil de qualitĂ© en faveur de la petite enfance 1 - crĂ©ation massive de nouvelles structures collectives pour rĂ©pondre aux besoins d’accueil des familles ; dĂ©veloppement de l’accueil des jeunes enfants exclusivement dans le secteur public ou Ă  but non lucratif, Ă  l’abri de tout objectif de concurrence et de rentabilitĂ© et en excluant la petite enfance du champ d’application de la directive europĂ©enne Services ; 2 - formation de 10 000 professionnel-les par an qualifiĂ©-es dans le domaine de l’accueil de la petite enfance correspondant Ă  la crĂ©ation de 200 000 places en accueil collectif sur 3 ans ; 3 - garantie d’une vĂ©ritable professionnalisation de tous les accueillants assistantes maternelles, titulaires du CAP petite enfance
, par la promotion professionnelle vers les mĂ©tiers les plus qualifiĂ©s pour de vĂ©ritables carriĂšres dans le secteur de la petite enfance ; 4 - pluridisciplinaritĂ© des Ă©quipes d’accueil incluant des compĂ©tences en santĂ©, en Ă©ducation et en psychologie du jeune enfant ; 5 - amĂ©lioration des taux actuels de professionnel-les qualifiĂ©-es et des ratios d’encadrement dans les Ă©tablissements d’accueil de jeunes enfants et retrait du nouveau dĂ©cret sur l’accueil collectif ; 6 - pour les enfants de 2-3 ans, dĂ©veloppement des grandes sections de crĂšches et de l’accĂšs Ă  l’école maternelle dans des conditions adaptĂ©es Ă  cet Ăąge, et abandon des jardins d’éveil payants pour les familles ; 7 - abaissement du reste Ă  charge financier pour les familles, leur permettant rĂ©ellement d’accĂ©der au mode d’accueil de leur choix, pour aller progressivement vers la gratuitĂ© des modes d’accueil. Parents, professionnels, nous ne poserons pas bagage Ă  la consigne, nous exigeons du gouvernement le financement d’un Plan d’urgence pour les modes d’accueil, qui voyage loin et grand pour les petits. Passer au contenu “PAS DE BÉBÉ À LA CONSIGNE” “PAS DE BÉBÉ À LA CONSIGNE” Jeudi 28 mars 2019, une soixantaine d’agents, salariĂ©s, de la petite enfance Ă©taient devant la PrĂ©fecture de ChambĂ©ry. Cet appel Ă©tait Ă  l’initiative du collectif “pas de bĂ©bĂ© Ă  la consigne” qui appelait Ă  un mouvement national. Le collectif CGT petite enfance a organisĂ© ce rassemblement afin de protester contre la rĂ©forme des modes d’accueil que le Gouvernement entend faire passer par voie d’ordonnances avant l’étĂ© 2019. Cette rĂ©forme va une fois de plus “plomber” la qualitĂ© d’accueil des enfants mais aussi les conditions de travail des Une grosse ambiance, des chants en piĂšce jointe les paroles, des pancartes pour montrer leur dĂ©termination et leur inquiĂ©tude Ces agents rĂ©unis provenaient de collectivitĂ©s diffĂ©rentes Mairie de ChambĂ©ry, CommunautĂ© de communes Coeur de Savoie, communautĂ© d’agglomĂ©ration ArlysĂšre, Belley, Annecy, St-Julien-en-Genevoy et d’ailleurs
. Les revendiquent POUR le bien-ĂȘtre et la sĂ©curitĂ© des enfants, POUR des Ă©tablissements d’accueil et un service public de qualitĂ© de la Petite Enfance, POUR l’accĂšs des Ă  la mĂ©decine du travail, POUR une politique ambitieuse de la Petite Enfance, vĂ©ritable investissement pour l’avenir de nos enfants et de notre sociĂ©tĂ© Prochaine Ă©tape, le 1er Mai et la grĂšve du 9 Mai. [googlepdf url=” width=”100%” height=”1200″] [googlepdf url=” width=”100%” height=”1200″] Partagez cet article, Choisissez votre Plateforme! Articles similaires Page load link En Centre-Val de Loire, le secteur de la petite enfance se mobilise contre la loi d’AccĂ©lĂ©ration de simplification de l’Action Publique d’Adrien Taquet. Elle prĂ©voit d’augmenter la capacitĂ© d’accueil des crĂšches et des assistantes maternelles sans d'autres moyens. "Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne" a lancĂ© un nouvel appel national Ă  manifester contre la rĂ©forme Taquet, SecrĂ©taire d’Etat chargĂ© de la petite enfance et des familles. Une rĂ©forme dans les tuyaux depuis prĂšs d’un an et qui devrait s’appliquer petite Ă  petit courant 2021. Le personnel de la petite enfance manifeste ce matin Ă  Tours, Bourges et crĂšches, micro-crĂšches et assistantes maternelles sont en grĂšves pour montrer leur mĂ©contentement face Ă  cette rĂ©forme qui augmente la capacitĂ© d’accueil des structures sans octroyer de moyens gouvernement veut baisser la surface minimale d’accueil par enfant en ville en passant de 7m2 Ă  5,5 m2. Il souhaite aussi que la marge de 15% d’enfants accueillis en surnombre en crĂšche ne soit plus exceptionnelle mais appliquĂ©e tous les jours. La rĂ©forme touche aussi le personnel encadrant. Les assistantes maternelles pourraient accueillir jusqu’à 6 enfants alors qu’aujourd’hui les agrĂ©ments sont pour 3 ou 4 enfants. En collectivitĂ©, le ratio annuel d’encadrement sera de 60% d’auxiliaires de puĂ©riculture et 40% de CAP petite enfance ou d’apprentis. Alors qu’aujourd’hui, les apprentis ne sont pas comptĂ©s dans les encadrants et les professionnels sont pour moitiĂ© auxiliaires de puĂ©riculture et l’autre moitiĂ© diplĂŽmĂ©s d’un CAP petite enfance."La rentabilitĂ© au dĂ©triment du bien-ĂȘtre"Pour Adeline Leguizet, secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral CGT OrlĂ©ans MĂ©tropole, cette rĂ©forme c’est "la rentabilitĂ© au dĂ©triment du bien-ĂȘtre des enfants." Des crĂšches en surcapacitĂ©s, des professionnels surchargĂ©s, voilĂ  ce que le gouvernement a prĂ©vu pour le secteur de la petite les professionnels mobilisĂ©s, cette dĂ©gradation des conditions de travail aura un impact sur une on va permettre aux enfants qu’on accueille dans nos Ă©tablissement d’ĂȘtre bien, de bien se dĂ©velopper, d’avoir la sĂ©curitĂ© affective nĂ©cessaire, plus on en fera des adultes Ă©panouis et solides. Or lĂ  on est en train de dire, on peut faire du surnombre. Plus d’enfants pour le mĂȘme nombre de personnel. On diminue la qualitĂ© de travail, la qualitĂ© d’espace vital pour chaque enfant, donc la qualitĂ© d’épanouissement Vandermeersche, dĂ©lĂ©guĂ©e syndicale CFDT OrlĂ©ans MĂ©tropoleJeudi 4 fĂ©vrier, une nouvelle mobilisation nationale du secteur de la petite enfance contre cette rĂ©forme est prĂ©vue, cette fois-ci uniquement Ă  l’appel de la CGT. Le collectif Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne est informĂ© que des professionnelles de la petite enfance envisagent de rejoindre des journĂ©es d’action comme celles concernant la fonction publique le 31 mars ou les services de santĂ© le 7 avril. A cette occasion, Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne rappelle ses propositions soumises aux candidates aux Ă©lections prĂ©sidentielle et lĂ©gislatives dĂ©velopper l’offre d’accueil des jeunes enfants, amplifier la qualitĂ© d’accueil des jeunes enfants et promouvoir la qualitĂ© au travail pour les professionnelles, Ă©tablir un plan "mĂ©tiers" de qualitĂ© et dĂ©velopper et rĂ©nover les formations, favoriser l’accĂšs financier des familles au mode d’accueil de leur choix, instituer un service public de la petite enfance. Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne, sans ĂȘtre Ă  l’initiative des prochaines journĂ©es d’action, ne doute pas que les professionnelles de la petite enfance qui les rejoindront auront Ă  cƓur d’y porter ces exigences pour la qualitĂ© de l’accueil des jeunes enfants et des conditions de travail des professionnelles engagĂ©es auprĂšs d’eux.

pas de bébés à la consigne