Cetimmense parking aux Pays-Bas peut accueillir plus de 12.000 vélos EN IMAGES - Aux Pays-Bas, le vélo est un moyen de transport indispensable. Victime de son succès, il est devenu difficile Acheterun véhicule aux Pays-Bas Si vous achetez un véhicule neuf (moins de 6000 Km ou moins de 6 moins), celui-ci devra être acheté hors taxe (hors BTW 19%) et vous paierez la TVA en France. Pour les véhicules d’occasion (plus de 6000 KM et plus de 6 mois), le prix payé au vendeur est le prix de marché qui inclut la TVA. Description Bonjour. Veritable velo hollandais batavus. Assise dos droittres confortable. 3 vitesses integrer dans le moyeu. Selle cuir marron [ possible de l echanger contre une selle gel toute neuve marron aussi] Cintre large. Garde boue avant et arriere. Porte bagage arriere. Protege carter de chaine integral. Quelest le tarif enfant pour voyager en train aux Pays-Bas ? Si vous venez avec des enfants aux Pays-Bas, les transports sont payants à partir de 4 ans.Avant cet âge, l’enfant voyage donc gratuitement et sans titre de transport. À partir de 4 ans et jusqu’à 11 ans, un tarif « Railrunner » permet des voyages illimités en train sur une journée pour 2,50 €. Cen'est pas un titre de propriété, c'est surtout utilisé par les hollandais qui vont à l'étranger pour pouvoir montrer quelque chose aux autorités étrangères, car en Hollande un bateau de taille normale est considéré comme un vélo, possession vaut titre. Il y a 3 associations en Hollande qui délivrent des documents : Amsterdamer le site de vélo hollandais précurseur en France. Depuis près de 12 ans, Catherine Duval propose sur son site vélos hollandais à la vente. Pionnière sur ce marché de niche, elle a démarré de manière artisanale en 2003 avant de se professionnaliser au fil des années jusqu'à devenir le numéro 1 du secteur. L3C51. Avec les tulipes, les bicyclettes sont l’élément qu’on associe très souvent au pays de Vermeer et de Rembrandt. Plus qu’un moyen de déplacement, le vélo fait partie intégrante de la culture hollandaise. On recense plus de km de pistes cyclables dans le pays et plus de 18 millions de vélos pour 17,1 millions d’habitants. En raison du succès énorme de la petite Reine», les places de stationnement sont devenues rares. Ainsi, le studio Ector Hoogstad Architecten a imaginé un immense garage pouvant accueillir vélos. Une idée salvatrice dans un pays où le stationnement sauvage fait rage. » LIRE AUSSI - Cette petite ville des Pays-Bas est un musée d’architecture à ciel ouvertDès les années 1970, les gouvernements successifs des Pays-Bas ont œuvré pour rendre leur État indépendant par rapport au pétrole et ont donc promu l’usage de ce moyen de transport. Depuis plusieurs années, les villes hollandaises multiplient les places pour garer ces vélos en surpopulation. À Utrecht, ville universitaire de habitants, le projet de ce gigantesque garage à vélos situé sous la surface de la gare centrale, allie design ultra pointu, praticité urbaine et sécurité. Facile d’accès, ce parking en sous-sol compte trois niveaux. La toiture ouvragée et aérienne recouvrant la place devant la gare est un auvent avec un motif de bulles de savon. Visibles depuis le garage à vélo souterrain, les colonnes en forme de trompette prennent racine dans le sous-sol. » LIRE AUSSI - Ces boutiques de cannabis qui misent sur le design pour séduire les clientsLes utilisateurs peuvent se déplacer en toute sécurité dans le garage sans se cogner, sur des routes de couleur rouge sur lesquelles le sens de circulation est indiqué. L’intérieur du garage est fait de béton et d’acier apparents, dans une esthétique brute et industrielle. Afin de créer une atmosphère accueillante, de la lumière naturelle filtrera par le vitrage de la place publique située au-dessus du parking. Quand Catherine Duval, gérante et fondatrice du site Amsterdamer, se lance en 2003 dans la vente en ligne de vélos hollandais, le pari est risqué. Le produit est peu connu en France. "Après deux années passées en Hollande avec mon mari, nous sommes tombés sous le charme de la vie urbaine à Amsterdam, une ville entièrement pensée pour la mobilité à vélo", raconte Catherine Duval. À leur retour, elle a à coeur avec son mari Bruno Duval de promouvoir la pratique de ce mode de transport en France. "Une étude de marché nous a montré que la concurrence était inexistante", explique la fondatrice d' concept est là mais il reste à convaincre les Français de l'intérêt d'acheter ce type de vélos. "Ce sont des vélos robustes qui sont destinés à un usage urbain. Ils offrent une position de conduite confortable en étant bien droit sur son siège, vous pouvez mettre vos courses, etc., enfin l'entretien est minimum."Un démarrage en douceur...Pionnier sur ce secteur, Catherine Duval et son mari ont choisi le Web afin de vendre dans toute la France. "C'était osé car nos vélos sont pour la grande majorité achetés sans être essayés, même si nous avons aujourd'hui un showroom en Vendée", précise la dirigeante. Ils démarrent leur activité avec un capital de 10 000 euros afin d'acheter leur premier stock. Le marché est alors naissant. La première commande tombe 15 jours après le lancement du site."Nous avons mis deux à trois années avant d'en vivre", précise Catherine Duval. Pour leur plateforme e-commerce, ils ont choisi Oxatis. "Elle nous a semblé complète et facile d'accès."... mais qui s'accélère au fil des annéesLe démarchage des fournisseurs s'est fait bien en amont du lancement de la boutique en ligne lorsque Catherine et Bruno Duval vivaient encore aux Pays-Bas. "La Hollande est un plat pays, aussi quelques adaptations ont été nécessaires pour utiliser les vélos sur les reliefs vallonnés français." Aujourd'hui, ils collaborent avec une vingtaine de fournisseurs. La gamme s'est élargie avec des tandems, biporteurs, triporteurs, vélos pliants, etc. L'arrivée des vélos électriques donne un coup de pouce au développement des ventes. Le site propose ainsi près de 2 000 produits, en comptant les accessoires et les différentes options." Nous commercialisons environ 1 000 vélos à l'année. Nos meilleures ventes sont les produits permettant le transport des enfants, ainsi que ceux plus spécifiques comme les tandems, et bien sûr la gamme des indémodables." Le panier moyen oscille entre 800-900 euros."Nos clients ont entre 30 et 60 ans dont des familles qui cherchent une solution pour supprimer l'achat d'une seconde voiture." Le site réalise ainsi 20% de son chiffre d'affaires à logistique, le point clé de l'activitéLe point le plus compliqué à gérer pour les deux fondateurs d'Amsterdamer a été la logistique. "Nous vendons des produits encombrants et la législation nous oblige à livrer le vélo monté et réglé, prêt à rouler", souligne Catherine Duval. Au départ, chose assez incroyable cela s'est fait par La Poste en simple colis ! "Le vélo n'était pas emballé complètement." Amsterdamer travaille aujourd'hui avec plusieurs transporteurs, selon la taille des produits. Le vélo arrive chez le client dans une sorte de "jupe cartonnée". La société compte entre six à huit employés, car l'activité, saisonnière, connaît un pic de mars à concurrence encore limitée"Pour notre communication, nous avons l'avantage d'être très bien référencé sur Google" , explique Catherine Duval. Par ailleurs, depuis cinq ans, le site a une version espagnole. "Nous la travaillons au coup par coup, nous sommes plus concentrés par le marché français." Amsterdamer réalise, en effet, seulement 5% de son chiffre d'affaires dans les pays limitrophes comme la Belgique, la Suisse ou l'Espagne, l'international n'est pas une priorité pour l'instant. Quant au développement des ventes sur mobile, cela reste encore très faible. Le projet est en cours de réflexion. Si la concurrence reste limitée, des sites comme Holland Bikes, Cyclable ou Mes véloshollandais sont aujourd'hui sur le même créneau. Néanmoins, Amsterdamer continue à être le leader du secteur sur le Web en revendiquant un chiffre d'affaires d'1,7 million d'euros, en 2014. Les objectifs des prochains mois sont dans la continuité étoffer leurs collections de vélos et poursuivre le développement de la société. Leurs conseils Proposer un produit qui ne soit pas déjà présent sur le marché que vous convoitez. Et vous devez avoir à l'idée la notion de gammes à développer. International Aux Pays-Bas, la petite reine est victime de son succès et l'utopie à deux roues tourne au cauchemar. Les parkings à vélos débordent dans les grandes villes néerlandaises. © Capture d'écran/AFP Problèmes habituellement réservés aux conducteurs, les embouteillages, le manque de places de parking ou l'agressivité au guidon menacent désormais de transformer l'utopie cycliste néerlandaise en un cauchemar quotidien. Dans un pays où le nombre de bicyclettes dépasse le nombre d'habitants 18 millions de vélos pour 16,7 millions de Néerlandais, les Pays-Bas n'ont tout simplement plus assez d'espace pour accueillir sur leurs routes les 5 millions de cyclistes quotidiens. À Amsterdam, par exemple, 490 000 personnes enfourchent leur vélo pour parcourir au total près de 2 millions de kilomètres chaque jour, selon la municipalité. "Les pistes cyclables les plus utilisées sont trop petites pour le flux grandissant de cyclistes", reconnaît le conseil municipal. Le nombre de cyclistes "a considérablement augmenté au cours de ces dernières années", assure également un porte-parole de l'Union néerlandaise des cyclistes Fietserbond, Wim Bot. "Dans un petit pays comme les Pays-Bas où chaque mètre carré est compté, nous n'avons plus d'espace", ajoute M. Bot "C'est devenu un cauchemar." Les Néerlandais sont tombés amoureux de la petite reine dans les années 1880. Deux décennies plus tard, les premières pistes cyclables, qui s'étendent aujourd'hui sur près de 35 000 kilomètres, étaient installées dans ce pays si plat qu'il semble fait pour le vélo. Même l'actuel Premier ministre Mark Rutte arrive régulièrement aux sièges des institutions politiques à bicyclette. En 2011, plus de 1,3 million de nouveaux vélos ont été achetés par les Néerlandais, pour un montant estimé à 968 millions d'euros. Carambolages Après avoir investi pendant des décennies dans les infrastructures réservées aux cyclistes, les Néerlandais payent le prix de la popularité de ce moyen de transport quotidien. "Dans des endroits comme Amsterdam ou Utrecht, l'augmentation du nombre de cyclistes a donné lieu à de nouveaux phénomènes, comme des embouteillages, des carambolages, des problèmes de parkings et de l'agressivité au guidon", rapportait récemment le quotidien néerlandais Trouw. À la gare centrale d'Utrecht notamment, des dizaines de milliers de vélos, parqués légalement ou non, diminuent l'accès des piétons à l'espace public, alors que d'autres cyclistes ont les plus grandes peines du monde à se garer. "Parfois, c'est une maison de fou sur la piste", assure à l'AFP un gardien de parking vélos de la gare centrale d'Utrecht, au centre des Pays-Bas. "Il n'y a pas de bagarres à proprement parler, mais des mots très durs sont souvent prononcés", soupire-t-il. Marleen Van der Wurff, 58 ans, cherche frénétiquement un endroit où garer son vélo avant de courir attraper son train "Cela devient une situation très dangereuse." Les statistiques confirment ses propos un quart de toutes les personnes décédées dans des accidents de la route sont des cyclistes, assure le Fietserbond. En 2011, plus de 200 cyclistes sont morts sur les routes, soit 28 de plus que l'année précédente, la majorité d'entre eux étant âgés, indique le Bureau central des statistiques CBS. Rester "néerlandais et stoïque" Et le problème n'a fait qu'empirer depuis que les autorités néerlandaises ont élargi l'accès aux pistes cyclables aux mobylettes, qui prennent facilement de vitesse les cyclistes dans un espace restreint. "Une recette pour un désastre", selon M. Bot. C'est devenu un tel problème qu'une conférence a récemment été organisée par les responsables de plusieurs grandes villes. Les solutions proposées, similaires à celles mises en place pour gérer les embouteillages à quatre roues, vont de l'installation d'immenses parkings en sous-sol à l'enlèvement par la fourrière des vélos garés illégalement, comme à La Haye où près de 2 400 vélos ont été enlevés depuis août. La ville d'Amsterdam a de son côté annoncé un plan d'investissements de 120 millions d'euros pour installer, entre autres, 38 000 nouveaux emplacements de stationnement, ainsi que 15 kilomètres de pistes cyclables supplémentaires. "Ce n'est pas un problème qui sera résolu la semaine prochaine", assure pourtant M. Bot, soulignant qu'il faut travailler "à moyen et long terme". En attendant, le meilleur moyen de gérer le chaos sur la piste est de prendre son mal en patience et de ne pas s'énerver "Parfois, ça aide d'être néerlandais et stoïque", le cauchemar cycliste des Pays-Bas Je m'abonne Tous les contenus du Point en illimité Vous lisez actuellement VIDÉO. Pays-Bas quand le vélo n'est plus la solution, mais le problème 9 Commentaires Guide de voyagePays-BasHollandeRotterdamVoyage – TransportsLocation de véhiculesVéloZWAANBIKES ROTTERDAM Rotterdam Restaurants Hébergement Visites – Points d’intérêt Voyage – Transports S’amuser – Sortir Sports – Loisirs Produits gourmands – Vins Beauté – Bien-être Shopping – Mode – Cadeaux Maison – Déco – Jardin Pense futé – Services Manifestation – Evénement Bons plans Résultats Vélo à ROTTERDAM L'avis du Petit Futé sur ZWAANBIKES ROTTERDAM Situé à quelques mètres de la gare dans le Groot Handelsgebouw, ce magasin loue, achète, vend et répare des vélos de tous les types et de toutes les tailles, de même qu’il organise des randonnées ou vend des itinéraires de balades de longueurs variables, le tout à des prix raisonnables. Prévoir une pièce d’identité valable ainsi qu’un dépôt de garantie d’environ 50 € par vélo. Une option à la fois sportive et sympathique de découvrir Rotterdam à petite allure et encadré de Hollandais bien avisés, qui sauront vous partager quelques secrets de leur ville. Organiser son voyage à ROTTERDAM Transports Réservez vos billets d'avions Location voiture Taxi et VTC Location bateaux Réservez votre bus Réservez votre train Hébergements & séjours Trouver un hôtel Location de vacances Echange de logement Trouvez votre camping Réservez vos vacances au ski Services / Sur place Réservez une table Activités & visites Voyage sur mesure Apprendre une langue étrangère Informations et horaires sur ZWAANBIKES ROTTERDAM Ouvert du lundi au vendredi de 7h30 à 18h, le week-end de 9h à 18h. Dès 12,50 €. Vous êtes le responsable de ce lieu, cliquez ici En savoir plus sur Rotterdam Les jeux concours du moment Remportez 1 séjour de prestige en Espagne, pour 2 personnes ! Profitez d’un séjour relaxant pour 2 personnes à Calella, dans la Province de Barcelone avec l'Associació Turística de Calella ! Je dépose mon avis et je gagne des Foxies Pour soumettre votre avis vous devez vous connecter. Retour Connexion Espace des Membres Email Mot de passe Mot de passe oublié ? Pas encore membre ? Réinitialiser le mot de passe Merci pour votre avis ! Bravo, votre compte a été créé avec succès et nous sommes heureux de vous compter parmi nos Membres ! Votre avis a été envoyé à notre équipe qui le validera dans les prochains jours. Vous pouvez gagner jusqu'à 500 Foxies en complétant votre profil ! Aujourd’hui, il est de notoriété publique que le vélo est devenu une institution aux Pays-Bas. Mais pour comprendre comment les bataves ont fini par truster la première place sur le podium mondial des utilisateurs de vélo depuis de longues années, il faut remonter de presque 150 ans. Fin du XIXe siècle, le vélo dit moderne commence à se développer en Europe. Alors que ses voisins choisissent de s’orienter vers la performance, les courses et la vitesse, la Hollande se dirige vers une autre voie le vélo découverte. En 1883 est fondée l’ANWB Algemene Nederlandsche Wielrijdersbond, ou Royal Touring Club des Pays-Bas qui va promouvoir le tourisme à vélo et développer les infrastructures facilitant sa pratique pendant plus de 80 ans, jusqu’à l’inexorable essor de l’industrie automobile. L’engouement est immédiat au sein de la population, jusqu’à la reine Wilhemine qui régna de 1898 à 1948 surnommée la petite reine, grande habituée des déplacements à vélo. PHOTO Mais ce n’est pas tout. Durant la première guerre mondiale, les Pays-Bas restent neutres et ne s’engagent pas mais subissent malgré tout le blocus allemand. Privée d’essence, la population délaisse leur nouvelle voiture pour remonter sur leurs deux roues. L’ANWB, qui n’en demandait pas tant, se voit donc dans l’obligation de faire construire davantage de pistes cyclables. C’est ainsi que naissent d’emblématiques marques Batavus, Sparta, Gazelle qui 100 ans plus tard, sont devenues des références dans le monde du vélo. Au milieu des années 50, les Pays-Bas comptent deux fois plus de pistes cyclables que la France. Mais leur élan va se voir freiner par l’essor de l’automobile. Jusqu’en 1970, l’utilisation du vélo est en vertigineuse baisse. Mais c’est sans compter sur le peuple batave, qui au début des années 70 manifeste régulièrement pour la défense des conditions de route dans leur pays de plus en plus de cyclistes meurent renversés chaque année. De plus, le premier choc pétrolier de 1973 vient renforcer cette dynamique pro vélo et c’est ainsi que les premières pistes à double sens font leur apparition dans des villes comme Amsterdam, Rotterdam ou Utrecht à la fin des années 70. Le mouvement prend de plus en plus d’ampleur, jusqu’en 1990 où un premier plan national vélo est mis en place aménagement des espaces cyclables, sécurité des usagers, logistique prévu à cet effet les fameux parkings géants pour vélos sont construits. Cela fonctionne si bien que 20 ans plus tard, l’Etat va investir plus de 25 millions d’euros dans la construction-rénovation de pistes cyclables partout dans le pays. Si bien que de nos jours, les Pays Bas sont les premiers utilisateurs de vélo au monde loin devant la concurrence en 2019, 36% des hollandais utilisaient quotidiennement leur deux-roues. Sur la route, les cyclistes sont prioritaires face aux piétons, qui le sont également face aux voitures. Chaque année, un hollandais parcourt environ 10x plus de distance qu’un français, il y a d’ailleurs davantage de vélos que d’habitants aux Pays-Bas !

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